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11 OCTOBRE 2008 IDM au ZOO (genève)
il y a 16 ans 2 mois #32169
par Gerbem
alors pour cette petite soirée nous avons au programme :
Monsieur.connard (audioactivity - IDM):
Mr.Connard : du hip hop en passant par le dub, l'electronica et toute sorte
d'impressions lugubres, vous fera voyager aux coeurs de ces turpitudes
journalières. Son univers bancal a un goût particulier; un goût amer,
rouillé; où s'entremêlent sonorités acides, rythmes charcutés,
distortions
en tout genre...Inspiré par les déviances humaines, il se crée un monde, un
monde pénible où sentiments perdus se contortionnent sur des beats
metalliques,où visions alarmistes se frottent dangeureusement à la vie
quotidienne...
www.monsieurconnard.com
ABS6 (audioactivity - electro-IDM)
ABS6 ou le point d'intersection de plusieurs droites, horizons. Ce dernier
s'efforce de dresser des Tableaux aux ambiances variables. Il ne se limite à
aucun genre musical, travail avec des impressions, sentiments. Tanto triste,
mélancolique, tanto bête et festif, c'est l'exploration de ces émotions qui
font du live d'ABS6 une sorte de séance de musicotherapie en milieu festif.
www.gerbem.com
Sydrome WPW (midinette rec - electropunk 8bit)
Maladie. Malediction. Italie. Heavy metal. Bontempi. Introverti destructeur,
epileptique urbain, le show electronique sans laptop de syndrome wpw inclut du
malheur, un peu de nevrose et des balles de fusil.
www.syndromewpw.net/
ELECTROMECA (peace off - IDM bourrinou)
Since he discovered that FM-radio could sound way much better through his
SP202, Electromeca didn't stop to cut-crush-distort-chop-chew-spit-reconstruct
fat & dirty beats with a delicious guilty pleasure. That's it: James Brown
driving a bulldozer through a wrecking yard, hectic B-Boys break-dancing in a
puddle of motor oil, The Bomb Squad meets Russolo in a Z-movie disco-club,
FM-radio harsh beats, dismantled stuttering beat-box, muddy boom-bap...
Basically: hard & heavily damaged club music.
www.myspace.com/electromeca
DDAMAGE (planet mu - electro hiphop) :
Les deux frères Hanak, connus sous le nom de dDamage, jouent une musique
électronique incernable, à la fois violente et mélodique, jonglant avec les
beats hip-hop, les riffs de guitares et la chaleur des synthés analogiques. A
flux tendu, leur musique laisse paraître écoute après écoute une
sensibilité rare, habilement camouflée derrière les intenses “boum
tchack” de la barbarie moderne. Après deux longues années d’intense
travail, ces enfants terribles de la musique électronique ressortent des
studios avec une quinzaine de nouveau morceaux, sur lesquels sont invités la
crème de la scène du hip-hop indépendant. On y retrouve Bigg Jus (ancien
membre du légendaire groupe New-Yorkais Company Flow) et son comparse Orko
Eloheim (NMS) pour deux morceaux sur-vitaminés, surchargés de synthés
intergalactiques. Dose One leader des groupes Subtle et Clouddead, fait son
apparition aux côtés des emblématiques figures du rap français TTC, dans
un
opéra aux structures de math-rock digital. Mike Ladd nous gratifie d’une
prestation de casse brique rapologique, bousillant les murs de samples à
coups
de punchlines d’une force détonante. On repère Tes (Lex Records), aussi
bien
a l’aise sur dans des dynamiques rock’n’roll que télé transporté dans
la talk-box de Zapp&Rogers. Arrive ensuite Crunc Tesla, rappeur sudiste
posant nonchalamment son flow dans une guerre de violons synthétiques et de
basses vibrantes. Ou encore les Stacs of Stamina, dans un exercice de zig-zag
où les beats prennent parfois la forme de mines anti-personnelles. dDamage
sort ensuite les fusils à pompe, sur l’explosif “S.I.N.” où la danse
est menée par le rappeur Sin, un affilié de la scène new-yorkaise
Dipset/Diplomats. Sans oublier Existereo, posant son flow de rockeur hargneux,
sur un instrumental laissant penser à une version hip-hop de Suicide qui
aurait été produit par Steve Albini. Un titre posé en ouverture, ayant
donné son nom à l’album : “Shimmy Shimmy Blade”. Le tout est
entrecoupé de quelques morceaux dancefloor ultra énergiques. Mais attention,
on est ici bien plus proche des courant New-Beat et EBM numériquement
reliftés, que de la house ou la disco actuelle. Parce que si “Shimmy
Shimmy” fait danser, n’oubliez pas que “Blade” reste une lame
tranchante. Une lame posée de force sous le cou de l’auditeur.
www.ddamage.org
d'incise (audioactivity - electronica)
d'incise est membre du collectif genevois audioactivity. en 2002, il commence
à produire differnet type de musique électronique, du dub à l'electronica,
et s'égarant dangereusement sur les voies expérimentalles de
l'électroacoustique. son monde est fait de fractures sonores, de
crépitations
névralgiques, d'atmosphères mélancoliques et d'une fascination
non-dissimulée pour la rouille et les rythmes qui s'effritent.
dincise.net
visus : AKINETIK, la loutre
Entrée: 10CHF / 6€ avant 1h, 15CHF / 10 € après
11 OCTOBRE 2008 IDM au ZOO (genève) a été créé par Gerbem
alors pour cette petite soirée nous avons au programme :
Monsieur.connard (audioactivity - IDM):
Mr.Connard : du hip hop en passant par le dub, l'electronica et toute sorte
d'impressions lugubres, vous fera voyager aux coeurs de ces turpitudes
journalières. Son univers bancal a un goût particulier; un goût amer,
rouillé; où s'entremêlent sonorités acides, rythmes charcutés,
distortions
en tout genre...Inspiré par les déviances humaines, il se crée un monde, un
monde pénible où sentiments perdus se contortionnent sur des beats
metalliques,où visions alarmistes se frottent dangeureusement à la vie
quotidienne...
www.monsieurconnard.com
ABS6 (audioactivity - electro-IDM)
ABS6 ou le point d'intersection de plusieurs droites, horizons. Ce dernier
s'efforce de dresser des Tableaux aux ambiances variables. Il ne se limite à
aucun genre musical, travail avec des impressions, sentiments. Tanto triste,
mélancolique, tanto bête et festif, c'est l'exploration de ces émotions qui
font du live d'ABS6 une sorte de séance de musicotherapie en milieu festif.
www.gerbem.com
Sydrome WPW (midinette rec - electropunk 8bit)
Maladie. Malediction. Italie. Heavy metal. Bontempi. Introverti destructeur,
epileptique urbain, le show electronique sans laptop de syndrome wpw inclut du
malheur, un peu de nevrose et des balles de fusil.
www.syndromewpw.net/
ELECTROMECA (peace off - IDM bourrinou)
Since he discovered that FM-radio could sound way much better through his
SP202, Electromeca didn't stop to cut-crush-distort-chop-chew-spit-reconstruct
fat & dirty beats with a delicious guilty pleasure. That's it: James Brown
driving a bulldozer through a wrecking yard, hectic B-Boys break-dancing in a
puddle of motor oil, The Bomb Squad meets Russolo in a Z-movie disco-club,
FM-radio harsh beats, dismantled stuttering beat-box, muddy boom-bap...
Basically: hard & heavily damaged club music.
www.myspace.com/electromeca
DDAMAGE (planet mu - electro hiphop) :
Les deux frères Hanak, connus sous le nom de dDamage, jouent une musique
électronique incernable, à la fois violente et mélodique, jonglant avec les
beats hip-hop, les riffs de guitares et la chaleur des synthés analogiques. A
flux tendu, leur musique laisse paraître écoute après écoute une
sensibilité rare, habilement camouflée derrière les intenses “boum
tchack” de la barbarie moderne. Après deux longues années d’intense
travail, ces enfants terribles de la musique électronique ressortent des
studios avec une quinzaine de nouveau morceaux, sur lesquels sont invités la
crème de la scène du hip-hop indépendant. On y retrouve Bigg Jus (ancien
membre du légendaire groupe New-Yorkais Company Flow) et son comparse Orko
Eloheim (NMS) pour deux morceaux sur-vitaminés, surchargés de synthés
intergalactiques. Dose One leader des groupes Subtle et Clouddead, fait son
apparition aux côtés des emblématiques figures du rap français TTC, dans
un
opéra aux structures de math-rock digital. Mike Ladd nous gratifie d’une
prestation de casse brique rapologique, bousillant les murs de samples à
coups
de punchlines d’une force détonante. On repère Tes (Lex Records), aussi
bien
a l’aise sur dans des dynamiques rock’n’roll que télé transporté dans
la talk-box de Zapp&Rogers. Arrive ensuite Crunc Tesla, rappeur sudiste
posant nonchalamment son flow dans une guerre de violons synthétiques et de
basses vibrantes. Ou encore les Stacs of Stamina, dans un exercice de zig-zag
où les beats prennent parfois la forme de mines anti-personnelles. dDamage
sort ensuite les fusils à pompe, sur l’explosif “S.I.N.” où la danse
est menée par le rappeur Sin, un affilié de la scène new-yorkaise
Dipset/Diplomats. Sans oublier Existereo, posant son flow de rockeur hargneux,
sur un instrumental laissant penser à une version hip-hop de Suicide qui
aurait été produit par Steve Albini. Un titre posé en ouverture, ayant
donné son nom à l’album : “Shimmy Shimmy Blade”. Le tout est
entrecoupé de quelques morceaux dancefloor ultra énergiques. Mais attention,
on est ici bien plus proche des courant New-Beat et EBM numériquement
reliftés, que de la house ou la disco actuelle. Parce que si “Shimmy
Shimmy” fait danser, n’oubliez pas que “Blade” reste une lame
tranchante. Une lame posée de force sous le cou de l’auditeur.
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d'incise (audioactivity - electronica)
d'incise est membre du collectif genevois audioactivity. en 2002, il commence
à produire differnet type de musique électronique, du dub à l'electronica,
et s'égarant dangereusement sur les voies expérimentalles de
l'électroacoustique. son monde est fait de fractures sonores, de
crépitations
névralgiques, d'atmosphères mélancoliques et d'une fascination
non-dissimulée pour la rouille et les rythmes qui s'effritent.
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visus : AKINETIK, la loutre
Entrée: 10CHF / 6€ avant 1h, 15CHF / 10 € après
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