[22.12.12] LE GRAND MECHANT BEAT 666 @ GLAZART

Aujourd’hui, le gentil petit beat est content, c’est son anniversaire, il est tout beau tout pimpant !

Et pour fêter cela dignement, il a réuni tous ses amis, des stars et des potiches pour célébrer son birthday sur un dancefloor géant. Paillettes, cotillons, gogos et djs stars sont prévus pour l’occasion, un anniversaire tout mimi et VIP.
Sur le chemin du dancefloor, il croise (encore) Le Grand Méchant Beat , pour qui c’est aussi jour de célébration. Il lui dit « Aujourd’hui je suis happy, alors soyons amis ! ».
Le gentil petit beat étonné, mais aussi effrayé, lui répondit « Non c’est gentil mais ce soir, je suis pris… » et continua son chemin d’un pas empressé.
Le Grand Méchant Beat dégoûté, décida de le poursuivre. Quelle fût sa surprise lorsqu’il découvrit la fête organisée… !
Malheureusement et comme habituellement, il se fit refouler à l’entrée au moment de s’y présenter…
Jamais dépité, toujours plein de bonnes idées, il se sentit inspiré lorsqu’il vit le DJ VIP arriver… En deux temps trois mouvements le bougre se vit assommé, ligoté et déshabillé… Et voici le Grand Méchant Beat devenu DJ VIP ! Accueilli comme un roi et après une cession de bisous baveux en backstage (comme le veut la tradition VIP), il prit les platines et ce n’est qu’au moment du premier beat envoyé que le subterfuge fût grillé…
Mais il était déjà trop tard et les gentils petits beats se firent happer un par un par les basses endiablées ! Quel cadeau d’anniversaire inespéré que tous ces petits beats à dévergonder ! Un an, ça se fête !!!

Et pour célébrer cela, Le Grand Méchant Beat va encore frapper très fort avec un plateau des plus FAT !!

Venu tout droit de Hollande : Negative A l’artiste le plus RAW de ces dernières années qui s’est illustré sur les labels DNA et Negative Audio, explose régulièrement les dancefloors des plus grands événements.
À ses côtés, l’allemand The Panacea , l’un des inventeurs de la drum and bass dark et dure avec son label mythique Position Chrome, il est l’un des meilleurs DJ de cette scène depuis près de 20 ans.
Ybrid , la French queen of darkness nous transportera avec son live, véritable voyage au cœur des ténèbres.
Venu tout droit d’Israël et pour la première fois en France, Skrip aka The Illuminati , sera l’ambassadeur de la nouvelle génération darkcore industrielle.
Et pour couronner le tout, deux de vos DJs préférés du crew Party Uniq : Ankou et AK47 seront également de la party pour faire vrombir les murs de Glazart .

Un an de dancefloors enflammés par des beats frénétiques et des basses ravageuses, ça se fête !!! et ce sera le 22 Décembre à Glazart.

Le Grand Méchant Beat souffle sa première bougie et n’est pas prêt de se calmer !!

En partenariat avec STYX RECORDINGS et TOOLBOX

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Hello

Aujourd'hui, nous vous proposons de lire l'interview de notre Dj AK47 sur le blog Davy-Croket. Enjoy!

davycroket.com/2012/11/16/interview-ak-47/

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Hello, nous commençons notre série d’interviews maison par The Panacea . Enjoy !

The Panacea, nous t’avons vu plusieurs fois à Paris, mais les gens ne te connaissent pas beaucoup ici. Peux-tu nous en dire un peu plus sur toi, ton rapport avec la musique, tes premières expériences avec la musique électronique, etc ?

J’ai commencé la musique très jeune avec le classique et je m’entrainais pour devenir chanteur d’opéra. J’ai une formation complète dans la musique classique, je jouais de deux instruments (piano et aubois) et je chantais dans la meilleure chorale de garçons d’Allemagne, la "windsbacher knabenchor". J’ai découvert la musique électronique quand j’avais 12 ans avec la première techno comme Underground Resistance, puis je me suis dirigé vers des trucs plus breakbeat hardcore avec Messiah et les premiers Prodigy de 92 et je suis resté sur le son UK depuis. Je suis allé dans ma première rave en 1992 et cela a eu un effet d’attachement éternel sur moi. Je savais que je voulais faire carrière dans l’électronica plus que dans la musique classique. En découvrant cet univers, je me suis senti comme un enfant dans un magasin de bonbons, tous ces sous- genres et ces directions différentes étaient très excitantes. Je me sentais plus comme à la maison dans ce milieu musical que dans l’environnement très restrictif de la musique classique. Même s’habiller d’une certaine manière était une forme d’expression ! Aujourd’hui, j’essaie de faire en sorte que chaque soirée inspire quelque chose d’aussi fort que ce que j’ai vécu, comme si vous veniez à une rave légendaire. C’est l’essence de The Panacea !

On trouve de nombreuses références à la RAVE dans ta musique (samples, sons, noms de morceaux, etc). À quoi fais-tu référence lorsque tu parles de RAVE (souvenirs, musique, état d’esprit) ?

Je me considère comme un raver. Quand j’ai commencé à écouter de la techno en 1991, aller dans les raves et faire la fête était le seul moyen d’entendre tous les nouveaux morceaux, puisqu’il y avait très peu de magasins de disques qui avaient de la techno, sans parler des disques les plus récents. Le sentiment que j’avais dans les raves de cette époque est ce que j’essaie de donner au public lorsque je joue aujourd’hui. Il n’y avait pas de règles dans les premières musiques électroniques et pour moi tout semblait possible. On s’éloigne de nouveau petit à petit des genres définis, ce dont je suis assez content.
Lorsque je joue aujourd’hui je ressens toujours beaucoup d’énergie, c’est cette énergie qui est la force qui guide ma carrière.

Ta musique a toujours été du côté le plus hard / dark de la drum and bass, depuis tes premiers morceaux sur Position Chrome jusqu’à maintenant. Aujourd’hui, le hardcore et la drum and bass se mélangent de plus en plus. Quel est ton point de vue?

Je ne me suis jamais demandé à quel style appartenait ma musique, je faisais les choses que j’aimais. Je suis présent depuis 1996 uniquement parce que je ne me suis jamais soucié des tendances. Il semblerait que le style hardcore dnb / crossbreed soit de plus en plus populaire mais pour ma part, je mets du hardcore dans mes sets depuis le début et je continuerai à le faire même si cette mode passe.

Tu as lancé une collaboration avec Limewax, The Goldberg Variations. Vous avez joué dans plusieurs festivals cet été (Dour, Astropolis). Quel est le concept ?

Nous voulions offrir une alternative au dj set classique. Lorsque nous jouons live, nous n’utilisons pas d’ordinateurs mais des vieux disques durs enregistreurs, ce qui rend le live très instable mais assez sympa pour le public car il nous voit jouer avec notre matériel et entend ce que l’on fait aux morceaux, alors que l’on ne voit pas ce qui se passe lors d’un live set basé sur ordinateur. Le public regarde l’arrière d’un écran d’ordinateur ce qui est à peu près aussi excitant que de se masturber sur des formules mathématiques. Lorsque nous travaillons ensemble avec Maxime, nous poussons les limites encore plus loin que lorsque nous travaillons seuls. Je suis très content d’avoir rencontré quelqu’un d’aussi talentueux que Maxime et nos collaborations ont toujours été très spéciales pour moi. Même si les lives représentent beaucoup de travail pour nous, ils sont très amusants et nous permettent d’expérimenter.

Tu es très énergique quand tu mixes et semble investir beaucoup de ta personne dans tes sets DJ. Quel est ton but ? Que veux-tu faire passer au public ?

Je veux que le public aime la musique et la soirée et puisse oublier un moment les soucis qu’il a dans la semaine. Le boulot du dj c’est de rendre les gens heureux, en même temps les éduquer et exposer au public de nouveaux morceaux. Il est évident que j’adore mon boulot et j’adore le partager avec les gens. Je suis toujours étonné de voir que j’ai un aussi bon retour que lorsque j’ai commencé à jouer, avoir un retour positif de la part du public est l’une des meilleures récompenses pour moi.

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baboon écrit:

J'aime vraiment beaucoup The Panacea que j'ai découvert justement sur Position Chrome a l’époque.

On aura peut-être l'occasion de te voir un de ces 4 ?

Hello, pour cette seconde interview, nous vous proposons de découvrir ou d’en savoir un peu plus sur Skrip , aka The Illuminati , sorti notamment sur le label français Styx Recordings , partenaire de cette édition spéciale, 666. Enjoy

Salut Costa, ce sera la première fois que tu joueras en France. Tu viens d’Israël, tu es Russe. Comment es-tu arrivé dans la musique électronique ?

La première fois que j’ai entendu de la musique électronique c’était il y a à peu près 17 ans, quand j’ai entendu « Commander Tom – Are am eye » dans une petite soirée privée. J’avais à peu près 11-12 ans et je me suis dit « Wow, ça c’est cool ». Après ça, mes amis ont commencé à m’apporter des cassettes Thunderdome et depuis je n’ai pas cessé d’écouter ce son dur. Fin des années 90, début 2000, j’ai commencé à mixer et à jouer house, trance et un peu de hardstyle dans des soirées mainstream en clubs. En 2005, avec mon frère, nous avons commencé à créer notre musique avec notre propre son et c’est là que The Illuminati et Apex Mind sont nés.

Tu sembles musicalement être très productif (hardcore, hardstyle, industriel, etc…). Tu as plusieurs noms comme The Illuminati avec ton frère, Skrip ton projet solo… Quel style préfères-tu créer ? Par quoi as-tu commencé ?

Amm… The Illuminati et Skrip sont seulement des projets industriels . Les projets mainstream et hardstyle sont avec mon frère. Skrip est mon nouveau projet solo et je ne suis pas encore complètement sûr de la direction musicale que je veux y donner. Mon premier morceau va bientôt sortir mais personne ne peut dire de quoi le futur de ce projet sera fait. J’ai aussi commencé un nouveau projet EBM / Industriel, « Your Bunny Riot » avec un de mes amis. Quand j’ai commencé à produire, mes premiers sons étaient hardcore, mais ma première sortie était hardstyle avec un remix que j’avais fait pour DJ Bass et Antikillah. Mais nous ne nous concentrons généralement pas sur un style particulier et essayons de créer plusieurs styles de musique en même temps.

Israël n’est pas le meilleur pays pour la musique électronique hard. Comment est la vie d’un artiste hardcore là-bas ?

La vie d’un artiste hardcore en Israël est la même que les autres citoyens, avec le hardcore en plus .
Nous n’avons pas de scène hardcore officielle et c’est très triste. On peut entendre, quelques fois, du hardcore dans quelques soirées underground mais cela se résumera à ça question hardcore ici. La plupart de l’underground se concentre sur la drum and bass. En termes d’artistes j’en connais 3 ou 4 (moi inclus) et c’est tout !

Tes performances sont plutôt DJ. Est-ce que tu joues principalement ta musique ou aussi celle des autres ? Est-ce que tu prévois également un live? Est-ce que le DJ raconte la même chose que le Producteur qui joue en live ?

Toutes mes performances sont DJ. Je joue notre musique mais j’aime aussi intégrer la musique des autres, selon la couleur de mes sets. Nous avons pensé à créer un live depuis un moment mais nous n’avons pas encore eu le temps de nous poser sur le projet. Le DJ et le live ne racontent pas la même histoire pour moi. Le live c’est quelque chose de préparé à l’avance alors que le set DJ tiens plus de l’improvisation. Tu viens avec un tas de morceaux et tu décides de ce que tu vas jouer en fonction du public, de l’ambiance, de la salle, etc.

Est-ce que tu réussis à vivre de ta musique ? À quoi ressemble ta vie si tu as un travail + la musique ? Hardcore ?

Je vois cette question revenir souvent . Et bien malheureusement non, je ne vis pas de la musique, je ne gagne pas des milliards mais si je pouvais avoir 1 ou 2 milliards ce serait nickel. Alors oui, j’ai un boulot au quotidien et dès que j’ai un peu de temps libre je travaille sur ma musique. C’est mon côté obscur, après une semaine de taff, je m’assois et je travaille sur de la distorsion de kicks et des sons noisy. Travail + musique = Tu aimes VRAIMENT la musique !

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Hello, voici aujourd'hui l'interview de Negative A. Enjoy !

Salut Negative A . Tu es l’un des artistes reconnus de la scène hardcore hollandaise. Tu sembles aussi avoir un gros background hip hop. Comment en es-tu arrivé au hardcore ?

Quand j’étais jeune, j’ai toujours été intéressé par la musique. À l’époque, j’écoutais une émission de mix hebdomadaire à la radio. J’écoute toutes sortes de musiques et le hip hop est juste l’une d’entre elles. De temps en temps je fais un mix hip hop pour mes amis.

Au début des années 90 j’ai commencé à produire avec Protracker sur un Comodore Amiga pour Hell Recordings. Après quelques années j’ai sorti mes premiers morceaux sur Megarave sous le nom Dr-Zivago. En 2001, Rige a lancé DNA Records et ma première sortie était sous le nom Negative A.

Ta musique est très populaire en Hollande et à travers le monde. Malgré cela, ton style reste beaucoup plus raw et moins commercial que la plupart des gros artistes hardcore. Comment définirais-tu ton style ?

J’essaie de faire quelque chose de différent à chacune de mes sorties. Je ne suis pas un grand fan des mélodies happy, l’énergie dégagée par un morceau est bien plus importante pour moi. Je décrirai mon style comme : « du vrai hardcore qui envoie de l’audio négatif avec une intention positive. »

Tu as commencé à sortir de la musique en tant que Dr-Zivago et a grandi avec le label DNA sur lequel vous avez sorti beaucoup de choses avec E-Noid. Aujourd’hui tu as ton propre label, Negative Audio. Raconte-nous cette évolution musicale.

Après toutes ces années j’ai arrêté de produire pour DNA et j’ai commencé mon propre label Negative Audio. Cela fait quelque temps que je suis dans ce business et je pense que c’est maintenant le moment d’utiliser de façon positive toute mon expérience et mon savoir, de façon à avoir le contrôle total. Je sais ce que je veux et j’ai senti qu’il était temps de faire bouger les choses. En plus d’avoir le contrôle sur la qualité et l’innovation, je peux investir mon temps dans de nouveaux producteurs talentueux.

Tu joues dans les plus grosses soirées hardcore mais aussi dans de plus petites soirées. Quelle est ta meilleure expérience ? Est-ce que la taille compte vraiment ?

Tout est amusant, peu importe que se soit une grosse ou une petite soirée. Mais les grands festivals d’été sont super cool car il y a des gens qui viennent du monde entier et c’est toujours cool d’entendre ce que les gens pensent de ta musique ou de la scène hardcore.

Tu sembles vivre de ta musique. Qu’est-ce que cela implique dans la vie de tous les jours ? Quels sont tes autres projets ?

Depuis que j’ai commencé Negative Audio, ces derniers temps j’ai beaucoup plus de travail administratif. Mais je préfère tout de même être dans le studio à créer de la musique.

Une journée type pour moi commence par promener le chien, vérifier mes emails et les nouveaux morceaux. Après ça, j’essaie de passer le plus de temps possible dans le studio.

Actuellement je suis très pris par deux albums. Début 2013 il y a un nouvel album Negative A qui va sortir et peu de temps après, un album avec Counterfeit.

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Chez Party Uniq , vous avez dû vous en rendre compte, l'important c'est le son!

Mais nous ne sommes pas les seuls et nous avons trouvé un allié de taille avec notre partenaire Monster et ses casques d'une qualité sonore irréprochable.

Et pour fêter la première bougie du Grand Méchant Beat, Monster offre un casque Monster Inspiration au 66e email que nous recevrons à: grandmonsterbeat-AT-partyuniq.com

Qui dit anniversaire, dit cadeau!

A vos mails... Prêts?... Envoyez!



Le Monster Inspiration c'est un casque audio haute définition avec une technologie de suppression de bruit de fond avancé, un confort à toute épreuve et la possibilité de customiser son casque.



* Le casque sera a demander à l'entrée de la soirée Le Grand Méchant Beat 666 du 22/12/2012 à Glazart. Un seul envoi d'email par participant. Il nous faudra votre nom complet, votre adresse postale ainsi que votre date de naissance dans le corps du message que vous nous laisserez pour vérifier que vous êtes bien la 66e personne a avoir envoyé votre email (pensez à prendre une pièce d'identité).