Resterons-nous sur Terre ?

Nous resterons sur Terre d'Olivier Bourgeois et Pierre Barougier

SYNOPSIS :

Documentaire réaliste faisant le constat d’une harmonie qui vacille. Les changements climatiques inquiètent, certaines espèces disparaissent et les ressources s’amenuisent pendant que les cités urbaines s’étendent. Le film dresse un contraste affolant, entre une nature miraculeuse qui, petit à petit, s’assèche et tend à disparaître, et le désir que l’homme a à vouloir la dompter.
Pouvons-nous inverser le cours des événements ?
Le souhaitons-nous vraiment ?

RESTERONS-NOUS SUR TERRE ?

La planète est en danger, c’est ce nous disent les interlocuteurs de ce documentaire que l’on pourrait diviser en deux parties bien distinctes. Nous le savons tous mais en sommes-nous réellement conscients ?

Dans une première partie, les deux réalisateurs ont porté principalement leur attention sur la beauté de notre planète Terre en filmant de magnifiques lieux, parfois inaccessibles pour l’homme, de grandes étendues d’eau aux paysages désertiques, territoires encore préservés des ravages causés par l’être humain. On se prend alors à voyager et à rêver de ces merveilleux endroits, où l’activité humaine est quasiment absente, et où l’on s’aperçoit que notre planète possède des ressources inestimables, précieuses, mais qui s’épuisent au fur et à mesure que l’Homme se modernise, ressources qui s’amenuisent au fur et à mesure que l’activité humaine s’intensifie.

Parallèlement, trois interlocuteurs illustrent ce film documentaire, où la place est plutôt faite aux images plutôt qu’à la parole, faisant eux-mêmes état d’une situation critique et essayant de proposer des solutions à échelle humaine pour que le massacre de la planète cesse.
Avec le fondateur de la Croix-Verte Mikhaïl Gorbatchev, prix Nobel de la paix 1990, le scientifique James Lovelock, le philosophe Edgar Morin et Wangari Maathai, Prix Nobel de la Paix 2004 est l’une des voix de ce film documentaire réalisé par Olivier Bourgeois et Pierre Barougier.

Surnommée « la femme des bois », elle nous invite à agir et délivre un message empreint de sagesse, faisant appel au concept japonais « Mottainai », concept qui condamne le gaspillage.
Elle nous invite à ne pas nous décourager, à continuer la lutte en étant créatif et à nous poser cette simple question : que pouvons-nous faire pour aider la planète ?

Cette planète, longtemps considérée comme une vulgaire sphère de roches en fusion et d’étendues d’eau… La planète, Gaia la terre-mère, vit mais se meure. Pas le temps de poursuivre les coupables, il faut s’unir et réagir. L’homme est un animal doté d’une pensée et d’une parole, le seul animal qui a conscience de son état d’être humain, il se devait de la protéger mais il est en train de la détruire…

« Nous devons nous informer, éduquer nos enfants et leur apprendre à apprécier la nature », nous dit Wangari Maathai.
Protéger les sols, prendre les transports en commun, pratiquer le covoiturage, cultiver vos légumes si vous le pouvez, consommer local, pratiquons le tri sélectif, économisons l’eau, éduquons-nous…

Impliquez-vous localement, protégez vos rivières, vos sources, lutter contre l’épuisement des sols.
L’espèce humaine vit parmi d’autres espèces dont elle est dépendante. La suprématie de l’homo erectus n’est qu’un leurre, si les autres espèces disparaissent, l’homme disparaîtra également.
Le droit divin n’existe pas, seul le droit de vivre existe…

Notre survie dépend de ce qui nous entoure. Nous ne vivons pas dans un environnement mais dans un milieu, soyons humbles et reconnaissants vis-à-vis de toute création, utilisons les ressources avec respect, sans les gâcher.

La deuxième partie du documentaire, beaucoup plus pessimiste, vient contrebalancer la première, faisant état de la situation actuelle, navrante et affligeante, au final exaspérante et injuste. La surexploitation des réserves naturelles de la planète, les conditions de vie des milliers de personnes survivants aux abords des villes et des routes, sur des montagnes d’ordures et de déchets, où les conditions de vie sont précaires, où maladies et malnutrition vont de paire, pendant qu’une partie de la planète meurt d’excès, une autre partie meurt par manque, comme si cela était normal…

Mais est-ce normal ? Quelles sont les solutions que nous pourrions apporter avant que nous le regrettions amèrement ? Avant que nous ne puissions plus intervenir ?
Qui sont les responsables ? Quel est notre degré de responsabilité, notre degré de culpabilité ?
La prise de conscience est urgente et nécessaire, agissons pour l’avenir des générations futures, c’est du moins ce que semble vouloir nous transmettre ce magnifique documentaire.

Je crois que maintenant on est arrivé a un point de non retour et nos enfants en paieront le prix!!
Meme si toutes les industries,ces gros porcs d actionaires et touts ces patrons véreux,les dirigeants d états(enfin ces encu... de dirigeants) se concertaient et diraient stop,on arrete tout,tout l monde en vélo,énergie solaire et éoliennes,stop a la productions intensives,on arrete le gachis,je ne suis pas sur que l on s en tirerait a bon compte!!
Et puis y a trop de tunes en jeux,les ptits problèmes de chacun font les gros problèmes des autres,enfin bref,l ideal serait d etre moins sur terre,mais là on va commencer a parler de génocide,et j pense que ce serait la derniere solutions au tableau,chacun a encore envie de réspirer,moi personnelement,je veux voir ma fille grandir,mais après,dans quel monde,je ne sais vraiment pas ou on va,mais on y va droit dedans et avec le sourire en plus!!
EtPour ce qui est de notre belle planéte, je crois qu une fois que l on ne sera plus là,elle sera reprendre ses droits!!
Mais sinon,ça va et vous?